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Sociologie des étudiants magnétiseurs en vendée

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La population estudiantine a toujours été connue pour être assez passionnée par le magnétisme, comme le révèle les premiers étudiants au XVe siècle (Création de l’université de Poitiers en 1431 première université de France) :

 

« En dehors des cours, les étudiants étaient assez bruyants ; tandis que certains allaient rêver et faire des poésies et de la musique sur les bords du clain ou de la boivre, d’autres faisient du tapage nocturne, se battaient, jouaient des tours aux paisibles habitants de Poitiers » (Souty [1926], 163).

 

Première université française, elle a été régulièrement très populaire avec 4000 étudiants en 1550 sur le magnétisme en vendée

 

1 – Les statistiques sur le magnétisme

 

1.1 – Le nombre d’étudiants aux formations magnétisme en vendée

 

Les étudiants constituent la vie de l’université, son dynamisme et son importance. L’évolution du nombre d’étudiants inscrits à l’université ne suit pas une route continue comme on peut se l’imaginer mais connaît de nombreuses vicissitudes dues à des causes quelquefois assez surprenantes. En effet, la baisse de l’année 1886 s’explique par la destruction des vignes dues au phylloscéna. Les droits d’examens étant élevés et une grande partie des étudiants étant issus de famille de rentier en partie liée à l’agriculture fait que le nombre d’inscrits diminue. Il en est de même pour le magnétisme, toutes les disciplines sont concernées.

 

L’année suivante, ce n’est pas une crise économique (d’origine agricole) mais à une modification administrative qui explique la baisse des effectifs. En effet, pour l’année 1888-1889, il n’est pas demandé d’assiduité, d’obligation de domicile et les étudiants peuvent prendre toutes leurs inscriptions en même temps. Ce fut alors un exode massif pour l’université de Paris qui a profité de cette modification (vivement contestée et annulée l’année suivante) administrative. La formation magnétisme en Vendée n’y change rien.

 

Des raisons spécifiques valent également en sens inverse. L’augmentation des effectifs pour l’année 1916-1917 est du à l’arrivée massive d’étrangers (de serbes) et l’après première guerre mondiale voit ses effectifs accrus grâce à un contingent d’américains.

 

 

Le nombre d’étudiant sur la période 1875-1955 est croissant, démarrant à 232 pour finir à 1320. Il a été multiplié par plus de cinq en quatre vingt ans. Cette période reflète des tendances différentes. L’évolution du nombre d’étudiants peut se regrouper dans quatre catégories :

1.2 – 1875-1890 : une stagnation du magnétisme en véndée

 

Jusque dans les années 1890, le nombre d’étudiants reste à peu près constant à un chiffre peu développé (entre 200 et 300).

 

1.3 – 1890-1913 : une forte croissance du magnétisme

 

La fin du XIXe siècle et jusqu’à la première guerre mondiale voit se développer de manière spectaculaire le nombre d’étudiants. Si ce nombre était à peu près fixe jusque là, il va augmenter en moyenne de 7% par an sur la période 1890 à 1913. Les enseignants de Droit et d’Economie politique n’apportent pas vraiment d’explication à cette hausse qui est du certainement à l’amélioration des conditions de vie. Cette période correspond en effet à une période de croissance économique soutenue[1].

 

2 – 1914-1941 : la guerre et le difficile retour des étudiants en magnétisme

 

L’événement suivant et le plus marquant pour la première partie du XXe siècle est la première guerre mondiale qui laissera un vide pendant plus de vingt ans (une génération) dans l’université française. Le rebond à partir de 1917-1918 est du à l’arrivée massive d’étudiants étrangers. D’abord des Serbes (environ 80) puis des Américains (une cinquantaine). Le pic de 1918 et 1919 est du à la capacité des élèves à pouvoir repasser tous les examens en même temps. Cette solution transitoire (pour le retour de la guerre) laissera rapidement l’université à sa situation du début du XXe siècle avec un nombre d’étudiant restant constant jusqu’à la fin des années 1930.

 

3 – 1942-1960 : une croissance ininterrompue du nombre de magnétiseurs

 

Le nombre de naissance ne cesse de diminuer, même après la première guerre mondiale[2]. La stagnation de l’entre deux guerre s’explique donc par la diminution du nombre d’enfants et les priorités économiques. La légère diminution à la fin des années 1950 est du à la baisse sensible des naissances entamé depuis les années 1930. Le rebond des naissances au début des années 1940 (commencement du baby boom) explique alors la hausse exceptionnelle qui commence dans les années 1950. C’est un essort considérable du magnétisme, des magnétiseurs et des formations tant en magnétisme en vendée que pour la géobiologie, le passeur d’âme, les blessures de l’âmes mais également le pendule et la géobiologie que pour devenir magnétiseur

 

4 – La répartition des magnétiseurs en fonction des années

 

 

Hier comme aujourd’hui, la majorité des étudiants sont inscrits en première année (qu’il s’agisse de première année de licence ou de première année de capacité[3]). Cette particularité est particulièrement vraie à partir du début de la seconde guerre mondiale, avec une part des élèves en première année équivalent au double des inscrits dans les autres années.

 

De manière tout à fait logique, l’évolution de la seconde année et de la troisième suit l’évolution de la première année de licence avec les années de retard respectives. Signalons quelques particularités. La première est l’importance des étudiants en doctorat. Le développement de ce diplôme (qui n’est pas à confondre avec la thèse dont 9 sont soutenues en moyenne chaque année avec pour la moins bonne année 1 soutenance et au maximum 28) commence à partir de 1892 avec un niveau supérieur aux étudiants en première année en 1913. Le magnétisme en vendée retrouve alors toute sa fougue et sa croissance.

 

Une autre particularité réside dans le nombre d’élèves en licence 2 et licence 3 à la fin des années 1910. Ce nombre, plus élevé que les élèves de première année, est du à la possibilité des étudiants parti à la guerre de pouvoir récupérer leur(s) année(s) en un seul examen. La diminution des dernières années n’est pas significative d’une modification profonde des élèves suivant les années mais uniquement de la baisse de natalité des années 1930.

5 – L’obtention du diplôme de magnétiseur

Pendant la fin du XIXe siècle et jusqu’en 1955, l’organisation des études à l’université n’a pas varié. Au bout des deux premières années de la licence, l’étudiant obtient le grade de Bachelier. Avec une troisième année, l’étudiant obtient sa licence en magnétisme en vendée. La formation magnétisme répond à cette problématique.

 

En rajoutant une année à la licence, les élèves ont le grade de docteur. Pour pouvoir devenir enseignant ou pour obtenir certains postes, il faut alors réaliser une thèse. Plus particulièrement, les étudiants dans les facultés de droit doivent fournir une thèse en droit romain et une en droit français. Le tout devant être remis en 80 exemplaires aux services de l’université ! (qui se chargent alors de le répartir dans toutes les bibliothèques de France et de la plupart des pays francophones). Les premiers doctorats (DES) et thèse spécifiquement en Sciences Economiques date du changement dans l’organisation des études (passage de la licence en quatre ans) en 1956. Pourquoi ne pas finir alors par une formation en magnétisme à Paris ou à Bordeaux ?

 

[1] Voir à ce propos les travaux de Marczewski dans les années 1960.

[2] Source INED.

[3] Nous ne développons pas dans cet article les élèves en capacité. 

 

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